Wallonie 2010

"Forcer l'Avenir - Rejoindre la France"
 

 
 
 

Prendre le taureau par les cornes



L'éveil de la Wallonie












 

 


Quelques nouvelles et commentaires


31
/03/2010 - Pierre René Mélon, président du RWF-Liège: un gage d'avancée significative


Pierre René Melon écrivain liégeois aux multiples talents a accepté de présider la section liégeoise du RWF lors de la réunion de renouvellement du cadre local.

C'est le gage de son évolution positive.
Le cœur au service de la cause, l'intelligence et la fidélité au service des militants et sympathisants liégeois.

Mais comment pourrait-on le présenter mieux qu'en lui donnant la parole. Voici ce qu'il a écrit à propos de la Wallonie:

 
« Tout peut céder d'un seul coup, s'effondrer comme cette partie de banquise en Antarctique.
On dit souvent que les Flamands tiennent les clefs de la Belgique.
Je
crois pour ma part que c'est la France qui les tient.

Les Wallons ont un besoin immense de l'amour des Français. Si beaucoup affectent de les détester ou de s'en défier, il faut y voir l'expression de la peur : peur d'être rejetés, peur de n'être pas à la hauteur... peur... peur...

Un engagement ferme et inconditionnel de la France en faveur des Wallons pourrait avoir un effet détonateur extraordinaire sur les mentalités. La doctrine gaulliste pèche par pusillanimité quand elle subordonne le soutien français à la volonté expresse et officielle des élus wallons.

Les Wallons sont déjà des Français, des Français à qui l'on interdit depuis sept générations de se croire Français. Nous n'avons pas à quémander quoi que ce soit. Nous sommes Français par le sang et les larmes versés.

Que sommes-nous devenus depuis la création de la Belgique ? Des sous-citoyens, des assistés fatalistes, des petits propriétaires repus, des rentiers anglophiles, de misérables matérialistes sans patrie et sans idéal. Voilà le tour de force opéré depuis 1830 par le pouvoir belge avec mille complicités internationales et autant d'intérêts politiques et financiers ! de !

Comment, après un tel traitement, les Wallons pourraient-ils vivre autrement que dans la détestation de soi et de l'Autre, le Français, surtout si ce dernier affecte la condescendance ou, plus couramment, l'ignorance ? Ignorance ou indifférence que le Wallon, fragilisé par son misérable destin de Belge, interprète en sa défaveur en les prenant pour du mépris.

Le Wallon me fait penser à la figure biblique de Joseph, séparé de ses frères et jeté dans un puits, puis vendu à une caravane d'étrangers qui passait par là...
Emigré en Egypte, devenu homme de confiance du pharaon, Joseph accueillera ses frères contraints de fuir leur pays pour s'établir à leur tour en Egypte. C'est autour de Joseph que se reconstituera le peuple de l'Alliance.
Ainsi le Wallon, rejeté en dehors du cercle de famille, précipité dans le puits belge, pourrait-il - quand il redeviendra Français - être celui qui rend à la France son destin national, et à la France l'intégralité de sa terre promise. » (Pierre René Mélon)

Comment avec une telle déclaration douter qu'il sera l'élément moteur de la prise de conscience du retour à la France pour de nombreux liégeois, fiers de leur appartenance, de leur culture et de leur passé. L'envie d'être fiers dans la conquête d'un avenir dans une république libertaire, égalitaire et fraternelle !
 

29/03/2010 - Il est midi moins cinq, pour la Belgique fédérale de papa !


Bernard Clerfayt, FDF qui avait décroché un mandat de député fédéral en juin 2007 avec un excellent score réalisé dans l’arrondissement de BHV a déclaré ce matin sur une radio :  « Ce que j'observe c'est que Jean Luc Dehaene travaille sur des sujets qui sont des demandes flamandes. Je n'entends pas qu'il travaille sur des propositions de nature à satisfaire les francophones ».

« Il a pour charge de venir avec des propositions qui devraient, en partie sans doute, satisfaire des demandes flamandes. A lui de les ordonner et de les présenter » a-t-il ajouté.

« Mais il doit aussi mettre dans son escarcelle quelque chose qui pourrait satisfaire des demandes francophones. Il n'est pas question qu'il vienne simplement avec les demandes flamandes en disant aux francophones, c'est à prendre ou à laisser », a-t-il déclaré comme un miséreux francophone qui tend une main tremblante à son puissant voisin. Nous ne sommes demandeurs de rien, chantaient en chœur les francophones réunis. Il faut admettre qu’aujourd’hui, il sont prêts à accepter les demandes flamandes pour quelques compensations électorales.

Jean-Luc Dehaene, le bulldozer de Vilvoorde, après avoir promis des pistes de solutions pour supprimer avant Pâques l’épine BHV qui est dans le pied du gouvernement fédéral les a reportés après le congé de Pâques, c’est à dire quelques jours avant une nouvelle et dernière« sonnette d’alarme » possible ou un passage certain en force au parlement où cette fois, la majorité flamande imposerait définitivement sa volonté à la minorité francophone.

Bien sûr, quelle que soit la solution du conflit politique, les Flamands finiront bien par forcer les politiques wallons et bruxellois à déclarer l’impossibilité de continuer à vivre dans un état fédéral devenu une dictature et à prendre leurs responsabilités. Il n’y aura alors que trois alternatives possible, le retour à un état unitaire, mais quels sont les Flamands qui accepteront ce retour en arrière, l’acceptation des deux régions comprenant le même nombre de parlementaires flamands et wallons, les deux régions assumant alternativement la direction du gouvernement ou la scission pure et simple en deux ou trois entités indépendantes.

Dans la troisième occurrence, la Wallonie, qui ne pourrait vivre seule, se tournera en fin vers la France et intégrera la  puissance économique et diplomatique qui lui rendre son lustre du début du XXe siècle, vous savez celui de l’époque où la riche Wallonie a financièrement aidé la Flandre à gagner la puissance qui nous écrase maintenant !
 aime tout le monde !

28/03/2010 - Papa aime tout le monde !


Ce midi sur RTL-TVI, nous avons eu droit à un numéro que le seul et l’unique Daerden est capable de faire !

Celui qui déclarait régulièrement l’affection que le petit peuple de Liège lui témoignait en déclarant d’un ton satisfait « Tout le monde aime papa » évolue vers une formule encore plus percutante " Papa aime tout le monde ".

Dans le débat sur les pensions, il a déclaré qu’il voulait une amélioration des petites pensions, mais le problème c’ est qu’il faudrait que les autres membres du gouvernement avec qui il est allié le veuillent aussi.

Inquiétant pour l’augmentation demandée, car l’on peut se demander, et sans jugement de valeur sur les projets qu’il voulait mettre à exécution, si ce sera comme pour la liaison autoroutière Cerexhe-Heuseux, la vignette de circulation sur les autoroutes wallonnes, la suppression de la redevance de télévision, l’entretien et la réparation des routes ainsi que les 600 millions d’euros qu’ il avait trouvés pour y remettre bon ordre, j’en passe et des meilleurs !

Il a même eu le culot d’annoncer que la pension moyenne en Belgique était de 1900 €. Que signifie moyenne lorsque l’on sait le nombre de petites pensions versées aux retraités belges ?

Cela veut dire qu’un petit nombre de pensionnés privilégiés ont un montant tellement important que leur poids financier compensent le grand nombre de ceux qui sont sous le seuil de pauvreté, ce qui permet d’annoncer ces 1900 € dont tout le monde rêve et que peu touchent.

Est-ce cela le socialisme de papa ? Du vent et une incapacité à réclamer une véritable justice sociale !
Un SMS passant sous l’écran m’a impressionné. « Il faut créer une pension unique pour tout le monde ». Mais pouvait-il la voir cette inscription, lui qui répondait à Pascal Vrébos sur la question  de sa situation financière, que cela allait et qu’il n’avait pas à se plaindre.

Mais encore plus étonnant sa cotation sur le Prince Philippe de 9/10. Où est l’esprit égalitaire et républicain des anciens socialistes, de ceux qui ont combattu l’inégalité sociale, mais nous sommes dans une monarchie parlementaire affirme-t-il où chacun des pouvoirs à sa place. Les manifestants de 1950, lors de l'affaire royale et les morts de Grâce-Berleur doivent se retourner dans leur tombe !ment papa aime tout le monde !

Mais il est vrai que le Parti socialiste a renié son esprit critique contre le pouvoir des forces du passé. Le siècle dernier, il stigmatisait la religion et j’ai souvenir des « mécréants » qui croassaient au passage du moindre curé. Aujourd’hui, il  se révèle ami sinon protecteur de la manifestation de plus en plus prégnante de ce que Marx appelait l’opium du peuple

Si la calotte et la soutane des «calotins » lui donnaient des boutons, la barbe et le voile ne semblent pas du tout le gêner !O
ui,

25/03/2010 - Etouffer la vie économique de Liège: une agression flamande !


Vu sur RTC-Télé Liège

« La commune de Riemst souhaite faire interdire une partie des vols de nuit à Liège Airport. Elle a introduit une procédure comme en référé en matière environnementale et réclame la suppression des vols nocturnes au-dessus de son territoire. Les adversaires de la commune de Riemst considèrent qu'il n'existe pas de violation des normes prévues et estiment tardive, disproportionnée et non opportune l'action dont ils demandent le rejet. La décision du tribunal devrait être connue après les vacances de Pâques.(Belga) »

 Il faut rappeler que le bourgmestre de Riemst est le CD&V Mark Vos, mais que son premier échevin est … Jan Peumans, vous savez le NV-A président du Parlement flamand.

Celui qui se moque royalement des Wallons en ayant déclaré dans le journal le Soir du 6 février 2010 que « s’il le pouvait, il renaîtrait Wallon sans hésiter. ».

Il faut aussi dire que ce brave flamingant « bon teint », à défaut d’appartenir à cette identité a un amour pour la région.

À la question, vous allez souvent en Wallonie ? Il répond tout de go « le plus possible. J’y passe toutes mes vacances. Ce week-end, je serai à Spa avec mon épouse. Et dans un hôtel à Villers-sur-Lesse pendant les congés de carnaval. Je logerai dans une chambre appelée « Vue royale ». Ça ne s’invente pas. Quand j’ouvrirai ma fenêtre, je profiterai d’une vue imprenable sur le château de Ciergnon. Mais si j’adore cette région, c’est pour sa tranquillité, la beauté de ses paysages. »

Il a même précisé qu’en plus de naître sur le sol wallon, il vénérait les paysages bucoliques et la chaleur de ses habitants.

À voir la plainte contre Liège Airport qui doit empêcher son développement commercial et son amour des paysages « d’amon nos autes », l’on comprend qu’une Belgiek flamandisée avec une colonie désindustrialisée et rustique ne pourrait que plaire à ce grand admirateur de notre ethnie.

L’on retrouve le langage du « bon vieux temps des colonies » cher à Michel Sardou, « Dis-nous ce que t’as pas, on en a ».

Nous aurons bientôt une oasis de paix à offrir à nos vacanciers du nord, lassés de la pollution qu'ils subissent dans leur plat pays.  
Pour autant que nous ne disparaissions pas sous le lisier importé de leurs fermes industrialisées !
 

23/03/2010 - L'euro risque de disparaître !


C’est dans sa rubrique « Actualité Économie » de son édition d’aujourd’hui que le quotidien La Meuse publie sous ce titre une intervention de Paul De Grauwen, professeur d’économie à la KUL.

Contrairement aux discours lénifiants du monde politique que gère nos pays un bande         au sur les yeux, il annonce, face aux déclarations d’Angela Merckel, chancelière fédérale d’Allemagne sur le refus de prendre en compte le déficit abyssal de la Grèce, il annonce « si l’axe franco-allemand explose, l’euro ne pourra pas survivre longtemps ».

Sous le titre l’eurogrenade, Jacques Myard, député français nous avertissait également « L'euro fonctionne comme une véritable grenade à retardement ; et c'est bien l'euro qui fera exploser le rêve irréaliste d'une Europe intégrée par la monnaie unique. Le drame est que tous les dirigeants européens ne veulent pas reconnaître leur bévue collective sur les prétendus bienfaits de cette machine infernale. Peu importe, la réalité les mettra au pas ! »

Voir l’article complet mais aussi « La Belgique n'est pas la Grèce. Vraiment ? Un graphique du FMI révélateur ! »

Il faut noter que Paul Degrauw est convaincu que «  Même si un accord intervient, l’euro devra disparaître dans un terme compris entre cinq et dix ans. La Banque centrale européenne assume le politique monétaire, mais pas la politique socio-économique. L’euro est comme une belle villa dont il manquerait le toit. En cas de tempête, cela devient inhabitable ».

Ce n’est pas les médiocres Van Rompuy et Barroso qui vont sortir l’Europe de la violente tempête qui s’y prépare.

Et encore moins, la Belgique, présidente de la dite Europe pour six mois, elle qui n’est même pas capable de constater les éléments dévastateurs qui sévissent depuis des années sur son territoire !
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Mais ses salades sont immangeables et une presse servile lui sert la soupe. Les journalistes ne connaissent-ils plus le sens de mots ou font-ils désormais partie d’un organe de propagande officielle ?
 

19/03/2010 - Yves Leterme vend ses salades, la presse lui sert la soupe


Benoît Duthoo sur RTL-TVi, sous le titre « Quand l'union fait la force au Palais d'Egmont », exprime qu’une  « belle image du fédéralisme de coopération se dressait au Palais d’Egmont ce vendredi, alors qu'Yves Leterme en vantait les mérites ces derniers temps. »

« 39 ministres étaient rassemblés pour mieux coordonner les politiques de chacun, afin d’être en accord sur les objectifs qui seront défendus par la Belgique face aux pays européens », ajoute le journaliste en extase devant cette manifestation préparatoire à la présidence européenne de la Belgique.

Le fédéralisme de coopération ?  Antidote, le logiciel de correction canadien nous donne la définition de coopération. C’est, dit-il, « le système par lequel des personnes associées dans un but commun ont des droits égaux à la gestion et se répartissent le profit au prorata de leur activité. »

Or, dans le fédéralisme belge, les associés sont les régions et non les parlementaires qui sont Flamands majoritairement  au parlement et qui, de ce fait, créent des droits inégaux dans les lois qui régissent l’état fédéral.

Son expression de fédéralisme de coopération dans la bouche d'Yves Leterme est donc un mensonge éhonté dans le but de mieux préparer une soumission imposée aux Francophones par des règles édictées par les flamands, forts de leur nombre.

Il veut un fédéralisme de coopération ? Très bien qu’il fasse modifier la constitution qui devrait déclarer la Belgique est dirigée par trois régions ayant chacune le même poids électoral au Parlement.

Mais ses salades sont immangeables et une presse servile lui sert la soupe. Les journalistes ne connaissent-ils plus le sens de mots ou font-ils désormais partie d’un organe de propagande officielle ?
 

18/03/2010 - Sous le soleil de Cannes, nos hommes politiques sur la Croisette ?


De nombreux politiques se sont offert un petit séjour à Cannes à l’occasion du MIPIM, le
Marché International des Professionnels de l'Immobilier.

Après un hiver où le soleil a tellement manqué, un passage sur la Côte d’Azur n’est pas du luxe et la raison d’y être offre un tellement beau message, celui qui défend par l’image l’avenir de son pays ou de sa région ou même de sa ville.

Donc beaucoup de nos politiciens ont pris leur bâton de pèlerin pour informer, s’informer et participer à ce salon prestigieux.  À tel point que la moitié des parlementaires bruxellois y est présente, dénonce Didier Gossuin.

Mais soyons assurés qu’ils y rencontreront pas mal de leurs collègues des régions et villes limitrophes.

Je pensais naïvement qu’il y avait des services nationaux ou régionaux qui disposaient d’un personnel compétent pour vendre la Belgique ou la Région wallonne à des investisseurs étrangers, qu’il n’y avait nul besoin de politique pour le faire.
 
Mais non, nos braves élus n’allaient pas rater cela.
A cette occasion, Claude Eerdekens, député wallon qui est passé par là, a appris incidemment que le Groupe Delhaize avait choisi la Flandre pour y installer son nouveau centre logistique. Il avait été question de Petit-Waret, mais le soufflé wallon s’est dégonflé comme souvent au profit de la Flandre.
L'implantation de ce centre prévoyait la création de 500 emploi

Furieux, il déclare rentrer en opposition.



Cannes, un petit goût de vacances - pourquoi ne pas en profiter !

"aujourd'hui, je suis un député socialiste indépendant. Et je rentre en opposition contre ce gouvernement wallon incapable! C'est le plus mauvais gouvernement qu'on n’ait jamais eu!", a-t-il déclaré aux journalistes de Vers l’Avenir.

Claude Eerdekens veut mettre Philippe Henry, le ministre écolo de l'Aménagement du Territoire, en accusation et a prévenu Rudy Demotte, le ministre-président wallon de sa décision.

Mais compte tenu des rapports tendus entre socialistes et écolos, sa colère est-elle le fruit d’une déception profonde ou est-elle une réponse déguisée aux attaques que les socialistes Daerden et Magnette subissent au Fédéral ?
 

17/03/2010 - La Belgique fédérale va-t-elle exploser ? Les Flamands pensent que non !


En 2003, la Cour constitutionnelle avait indiqué qu'une solution devait tomber pour Bruxelles-Hal-Vilvorde avant les prochaines élections. La Constitution belge précise que c'est le Parlement qui valide les élections et recours éventuels. C'est sa première tâche après le scrutin.

Des spécialistes de la Constitution, notamment Johan Vande Lanotte (sp.a), pensaient que le parlement nouvellement élu pouvait se déclarer lui-même élu constitutionnellement.

Mais cela pourrait ne plus être le cas. Un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme sur Mircea Grosaru, un Roumain qui avait été élu, mais n'avait pas pu siéger, stipule que toutes les élections doivent être contrôlées par un organe juridiquement impartial et indépendant.

Comment un parlement nouvellement élu pourrait-il d’une manière impartiale et indépendante se prononcer sur sa propre nomination ?

Notre pays ne dispose pas d’un tel organe indépendant de validation et même s’il existait, cette instance de décision ne pourra jamais passer outre un arrêt de la Cour constitutionnelle.

Pendant ce temps, Dehaene joue les prolongations pour rendre l’oracle sur BHV, attendant ainsi le moment fatal où les Flamands auront deux fers au feu, le passage en force de la scission (le contraire serait interprété comme une faiblesse et une compromission par les électeurs flamands à un an des élections fédérales) ou l’acceptation par les élus bruxellois et wallons, effrayés par une crise institutionnelle sans précédent à l’aube de la présidence belge à l’Europe de passer sous les fourches caudines du vainqueur, consacrant ainsi les frontières définitives de la Région flamande.

Pendant ce temps aussi, Yves Leterme, transformé miraculeusement en produit anesthésique, parle d'une Belgique apaisée. Sa prestation de Wavre l'a démontré, le fédéralisme de participation est en route. Mais un fédéralisme où au parlement, une région domine définitivement les autres par sa représentation politique, peut dans l'absolu s'appeler " un fédéralisme colonisateur".

Et si les élus wallons avaient pour une fois u peu de panache. S’ils refusaient une fois pour toutes le chantage. Oh, ils vont encore probablement déclarer que la crise sociale et économique est plus importante que l’institutionnel qui est en train de nous étrangler.

Il n'est pas impossible de rêver. Il y a bien un moment où certains politiciens se transformeront en VRAIS politiques !

N'ayons pas peur de quitter un petit royaume de quelque 11 millions d'habitants pour rejoindre une grande république qui en compte près de 70 millions

Pour une fois, le devise nationale s'avère réaliste " L'union fait la force". Oui, mais pour une Wallonie avec la France !
 

16/03/2010 - Jean-Jacques Viseur, un bon point pour déclaration intelligente !


Je n’ai pas l’habitude de distribuer des « bons points » à nos hommes politiques que je considère comme étant de parfaits otages de leur parti qui est devenu le maître incontesté de leur réélection et, par conséquent, de leur carrière politique.

Mais j’ai l’intime conviction qu’ils sont sensibles aux attaques sur leur passivité de réaction aux demandes citoyennes et que cela peut les inciter à les prendre parfois en compte. C’est pourquoi j’anime ce site.

Aujourd’hui, je suis étonné et ravi par les déclarations faites au micro de Pascal Vrébos par Jean-Jacques Viseur, le bourgmestre CDH de Charleroi.

Il était interrogé sur l’arrêté de la Cour d’appel autorisant une enseignante à garder son voile lorsqu'elle donne cours.

A la question " Vous avez compris cet arrêté ? ", il a répondu "Je comprends le raisonnement, mais je ne partage pas du tout la logique adoptée. "

" La logique est de dire que nous sommes dans un état qui pratique une certaine neutralité. Mais celle-ci, selon la cour, n'a pas les mêmes effets que la laïcité française. Ma thèse est que nous sommes dans un État dominé par le droit français et que la laïcité est une vertu de l'État. C'est vraiment parce que l'État est laïque que les religions peuvent s'exprimer. C'est aussi la volonté de voir l'État clairement respecter les options de chacun. Mais les respecter parce qu'il est neutre. »

Mais il a terminé par " Au delà de cette controverse philosophique vraiment importante, devons-nous appliquer les principes de 1789 ? Je le crois ".

Les mots sont lâchés et ils sont extraordinaires de la part de cet élu d’un parti dont la présidente temporise sur une loi d’interdiction du port de signes religieux dans la vie publique et qui a accepté qu’une de ses députées se présente au parlement voilée !

Oui, nous devons appliquer les principes des révolutionnaires liégeois de 1789, qui ont été décrétés dans leur Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen que « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui;  ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme, n'a de bornes,  que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance des mêmes droits : ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi. (Art. 4) »

Le port de signe distinctif d’une religion ou d’une opinion philosophique est un envahissement passif ou actif de l’autre, lorsqu’il se fait dans les institutions publiques. Ces convictions doivent rester confinées dans le dialogue personnel entre individus et non portées comme une bannière invasive.

Merci, Monsieur Jean-Jacques Viseur pour cette prise de position claire et nette.
Elle vous honore et je vous encourage à lire avec attention cette fameuse déclaration faite en août 1789 quand un vent de liberté, de justice égalitaire et fraternelle a soufflé sur notre région !

Qui sait, une source d’inspiration pour vos déclarations futures ?   
 

15/03/2010 - Notre roi pèse-il réellement un milliard d'euros ?


Aujourd’hui, Het Nieuwsblad annonce que la fortune privée du roi Albert II se chiffrerait à 1 milliard d'euros, soit 80 fois plus que les 12,4 millions que le Palais lui reconnaît officiellement.

"Et il s'agit probablement là d'une sous-estimation", souligne Thierry Debels, un enquêteur spécialisé qui a rédigé un ouvrage sur le patrimoine de la dynastie belge sous le titre "L'argent perdu des Cobourg".

Il faut ajouter que le montant ainsi calculé ne tient pas compte de l'ensemble des intérêts que possèderait encore la famille royale en République démocratique du Congo.

L'un des principaux éléments du patrimoine des Cobourg serait constitué par des participations dans l'ex-Société Générale de Belgique, absorbée par le français Suez.

Il faut rappeler que la Société Générale fut fondée en 1822à  l’initiative du Roi Guillaume Ier des Pays-Bas sous le nom d'Algemeene Nederlandsche Maatschappij ter Begunstiging van de Volksvlijt.

En 1830, l'institution subsista et devint caissier du jeune État. Elle participa à la négociation d'emprunts destinés à consolider sa situation.

Devenue Société Générale pour Favoriser l'Industrie Nationale, elle prit le nom de Société Générale de Belgique au début du XXe siècle.

C’est en janvier 1988, qu’une offre d’achat fut lancée sur la société par Carlo De Benedetti qui entendait en devenir le principal actionnaire. Le holding finira par tomber dans l’escarcelle de Suez, avec la collaboration d’une coalition d'actionnaires belges, emmenée par la compagnie d'assurances "AG", dirigée par Maurice Lippens. 


Léopold 1er
Probablement le créateur d'une partie des avoirs de la famille royale

C’est ce même Maurice Lippens qui devra démissionner de Fortis avant son sauvetage par l’État belge et son rachat par BNP Paribas.

Mais comme on le voit, toutes ces tribulations financières ne semblent pas avoir un impact trop négatif sur les avoirs personnels de notre monarchie.

Comme quoi le « premier des Belges » et sa famille ne sont pas tributaires des dotations si généreusement accordées par un peuple qui s’interroge sur sa capacité d’assurer un minimum vital au plus humble des sujets du pays.

Source:  Le Point.fr
 

14/03/2010 - La Belgique, paradis de la rigueur budgétaire


C’est le quotidien Le Soir qui le révèle ce vendredi Sherif Abdoelrahman, un illustre inconnu mais qui a été conseiller de Marc Verwilghen l'ancien ministre de l'Economie (Open VLD) bénéficie d’un traitement de faveur.

Commissaire adjoint de la structure qui gère la participation belge aux Expositions universelles, dont celle de Shanghai, qui s'ouvre le 1er mai prochain,  il est même inconnu de celles et ceux qui travaillent sur ce dossier, alors qu'il est censé être "en poste" depuis le 1er août 2007. 

L'homme n'a pas assisté aux dernières réunions du comité de suivi, alors que l'inauguration du pavillon belge se rapproche, Il percevrait pourtant chaque mois, 3.600 euros net, ce qui depuis 32 mois, lui fait un total de 115.200 euros « dans la poche ».

Son désintérêt pour le dossier, avec un déficit de 4.000 heures de travail, fait aujourd'hui grincer des dents dans les couloirs du SPF Economie, poursuit le journal qui rappelle que Robert Urbain, ancien ministre PS, nommé commissaire général pour Shanghai 2010, recommandé par Elio Di Rupo et choisi par le gouvernement Verhofstadt avait quant à lui jeté l'éponge un après sa désignation, le 1er août 2007. Cette "non-présence" avait déjà coûté 77.000 euros, soit 22 mois, rémunérés 3.500 euros net.


 

II semblerait que cette présence onéreuse de la Belgique sera aussi coûteuse en avantages attribués à des « favoris » qu’en représentation de la Belgique.

Ne parle-t-on pas de rigueur budgétaire ? Oui, mais cela dépend pour qui !
Pas pour les créatures des appareils de parti !

Lire notre article paru en 2009 sur le pavillon belge à Shanghai
 

11/03/2010 - Leterme, un premier ministre discret qui craint les Wallons !


Yves Leterme, à l’invitation de Charles Michel, bourgmestre de Wavre, devait venir parler sur le thème « Quelle Belgique pour demain ? »

Sans doute, une manière de rassurer les Wallons sur la manière dont ils sont digérés tous les jours dans l’état fédéral België.

Pour lui souhaiter la bienvenue et lui soumettre la solution idéale, c’est à dire le retour à la France des Wallons et l’enterrement définitif d’une Belgique unitaire défunte depuis longtemps, le Rassemblement Wallonie-France avait invité ses militants à se manifester en paix, lors de son arrivée.

Tout était prêt pour une réception joyeuse et colorée par les nombreux drapeaux bleu, blanc, rouge frappés du coq wallon. Même Charles Michel l’attendait au seuil de sa maison communale, entouré de sa police locale.

Yves Leterme a dû les prendre pour des manifestants « à la flamande » puisqu’il s’est introduit subrepticement par l’arrière du bâtiment. L’on n’est jamais trop prudent !

Mais le RWF n’est pas le Vlaams Belang et de toute façon, il lui suffisait d’entonner la Marseillaise comme il avait su le faire lors d’un 21 juillet passé, pour s’attirer la sympathie et les applaudissements des manifestants.

Ou alors adopter la technique de son prédécesseur, devenu président permanent de l’Europe, face à l’insulte d’un député européen anglais qui le traitait de serpillière, une surdité temporaire et un mutisme prudent.

Décidément, nos maîtres actuels flamands manquent de panache !


Nombre de manifestants déployaient les drapeaux français frappés du Coq hardi
 

Photo: Philippe Lenaerts

Le tract distribué par le RWF sur la duplicité du MR/FDF
Voir l'intervention de Paul-Henri Gendebien sur RTL-Info
 

09/03/2010 - Les  "pôvres" Daerden, victimes d'un institut trop pointilleux ?


La Libre Belgique de ce jour annonce que l'Institut des Réviseurs d'Entreprises (IRE) ne serait pas satisfait de l'exécution des sanctions disciplinaires prises à l'égard de BCG&Associés, l'ex-cabinet Daerden père et fils.

Son comité exécutif aurait envoyé un courrier aux dirigeants du cabinet révisoral  « leur intimant cette fois, l'ordre de dessaisir de huit des quinze mandats litigieux ».  « C'est une décision que nous prenons quand nous estimons que nos sanctions ne sont pas bien appliquées »  aurait dit l'IRE.

Leur réexamen pourrait s'étendre à d'autres contrats du cabinet.  

"En attendant, l'examen de la décision de l'IRE, confirmée par la Cour de cassation, révèle non seulement un conflit d'intérêt, mais aussi des manquements dans le chef de Frédéric Daerden et un de ses associés concernant le contrôle des comptes d'une SA dont ils avaient la charge", précise le quotidien.

Cette société était Cap Industries, un atelier mécanique d'Awans.

C'est ce dossier qui aurait attiré l'attention de l'IRE et l'aurait motivé à s'intéresser au cabinet Daerden.
 

08/03/2010 - Journée de la Femme - Le Groupe Sud-Presse s'aplatit !


Abonné au  quotidien liégeois,  La Meuse, je suis habitué au "cirage de pompes" des politiques dans ce journal.

Bien sûr, ce n'est pas le seul journal ou magazine qui pratique ce genre de journalisme "people", l'on sait que la presse est largement subventionnée, mais cette fois, je trouve que le couvert mis l'est à mauvais escient.

Quatre pages "quadri" à la gloire des deux égéries, l'une humaniste et l'autre socialiste, à l'occasion de la Journée de la Femme".

Pour le sujet, l'on aurait pu penser à mettre en vedette une mère, élevant seule ses enfants avec le courage que l'on doit lui attribuer.

Cela aurait pu être une "femme libérée" pompière ou policière, qui met sa volonté d'être au service des citoyens comme n'importe quel homme.

Cela aurait pu être une infirmière, confrontée à tous les malheurs du monde rencontrés à l'hôpital dans des horaires et des charges de travail.

Non, ce sont deux femmes nanties par une carrière politique. Les deux plus puissantes de Belgique, nous affirme le canard dont les plumes sont engluées de basse flatterie, ce dont les deux "stars" se défendent avec la modestie qu'on leur connait.

Transformer la Journée de la Femme en tribune politique est indécent par rapport à toutes celles qui souffrent encore dans leur chair et dans le esprit dans notre pays et dans le monde entier.

Bien sûr que la contraception est un droit, comme celui de l'égalité homme/femme, comme celui d'exercer le métier choisi.
Mais ces affirmations devaient venir de la base et non de deux politiciennes dont la profession de foi est d'affirmer cela quotidiennement, du moins on peut l'espérer.  Elles ont le pouvoir de changer les choses, les autres ne peuvent qu'exprimer leurs difficultés bien réelles.

J'aurais aimé que le journaliste de la Meuse donne largement la parole aux secondes plutôt qu'aux deux premières qui, une fois leurs affirmations volontaristes publiées, rentreront chez elles, dans une confort douillet que beaucoup de femmes peuvent envié.

Alors, Mesdames ... Vous, les sans-titres, les sans-emplois, les abandonnées, les battues, celles qui ont difficile à boucler le pauvre budget de leur famille, celles qui souffrent tous les jours encore de discriminations, je vous salue humblement .

Aragon l'a dit " vous êtes l'avenir de l'homme " et le poète a toujours raison. Continuez à être les véritables fées protectrices de nos faiblesses d'homme !
 

06/03/2010 - La Belgique ? Un pays prospère d'après Yves Leterme


Yves Leterme a déclaré lors d'une conférence de presse commune à Bruxelles avec  Mirko Cvetkovic, premier ministre serbe,  « La Belgique est un pays prospère, mais ce n'est pas un Eldorado. Je veux dire à ces gens que venir en Belgique pour y résider, pour profiter de notre système de sécurité sociale, c'est exclu ».   

Cette affirmation d’une prospérité du pays faite par le premier ministre devrait résonner comme une insulte aux quelque 500.000 chômeurs, aux futurs licenciés d’Inbev, d’Opel, de Carrefour et tous ceux qui sont sur le point de perdre leur emploi.

Elle est particulièrement malvenue au moment où le déficit budgétaire 2009 a été en perdition de quelque 20 milliards d’euros et que la dette publique belge, selon l’agence internationale de notation Standard & Poor's, risque d’atteindre 102 % du PIB en 2010, contre encore 84 % en 2007.

Pays prospère ??? La fameuse méthode Coué a-t-elle atteint tous nos responsables politiques ? Ne voient-ils pas le raz-de-marée financier qui risque d’atteindre les côtes belges, suite à la zone de graves turbulences qui s’installe en Grèce.

Angela Merckel a précisé que l’Allemagne ne viendrait pas financièrement à son secours. Et si l’Allemagne sortait volontairement de la zone euro pour éviter le naufrage par contagion  ?

Aucune entreprise ne peut survivre dans un désert économique et celui-ci peut provenir d'un assèchement financier.
Sans entreprise, plus de travail, plus d'aide aux plus démunis, plus de soins aux plus pauvres
!

Pauvre Wallonie, prisonnière d’un état fédéral à la dérive alors qu’elle aurait de bien meilleures chances de s’en sortir comme Région à part entière de France !
 

05/03/2010 - Ce qui importe, c'est l'image. Souvent elle dissimule la pauvreté du projet !
 

Rudy Demotte, ministre-président  de la Région  wallonne, qui avait déclaré qu’il aimerait appeler sa région plutôt Wallonie, semble regretter la témérité d'une déclaration aussi osée !

"Je n'ai pas parlé d'identité wallonne mais bien de confiance. Il faut donner confiance aux Wallons pour qu'ils aient confiance en eux-mêmes", a-t-il expliqué vendredi dans un entretien sur Bel-RTL.

Face aux critiques du MR sur le sujet, il a clarifié sa position.

"Je n'ai pas parlé d'identité mais d'image. Les Wallons ont besoin d'être soutenus et de savoir qu'ils valent quelque chose. Ils sont trop souvent victimes d'auto dénigrement. Il faut leur montrer, notamment au travers de «  success-stories », qu'ils valent quelque chose. C'est une forme de « coaching » pour les Wallons. »

Ce Wallon picard (voir son site) tremblerait-il à l’idée que la Wallonie pourrait un jour revendique une identité forte ?
Que cette identité la pousserait à exiger de rejoindre les Régions de France, au lieu de rester lamentablement amarrée à une jetée belge en voie de délabrement, sous les coups de boutoirs de lames de fond flamandes ?

Veut-il faire « risette » aux Flamands auxquels il semble tenir particulièrement pour sauver la région, soi-disant assistée socialement par une Flandre triomphante ? (NDLR - Il faut toutefois préciser que son étoile est en train de pâlir)

Craint-il de déplaire à son excellence le président de son parti qui ne cesse d’envoyer des signaux de vassalité par rapport à la monarchie et à la Belgique fédérale ?

Pitoyable ! Lamentable ! C’est avec ce genre d’eau tiède façon « Tartarin de Tarascon » qu’il veut rendre la fierté à ses compatriotes ?

Mais ses déclarations devraient ouvrir les yeux de tous les Wallons un tant soit peu observateurs.
 

La méthode Coué figurerait-elle parmi les ouvrages de référence de ce ministre qui préside au destin de la Wallonie ?
La seule chose que l’on peut affirmer, c’est que l’auto-hypnose n’a jamais changé les monde extérieur !
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

04/03/2010 - La Wallonie intérimaire au secours de la demande d'acier et de Monsieur Mittal
 

André Antoine, le ministre wallon du Budget du gouvernement de la Région wallonne a déclaré être prêt à intervenir financièrement afin qu'Arcelor Mittal dispose des quotas C02 nécessaires pour la relance du haut-fourneau B d'Ougrée, prévue le 12 avril.

« La Région est prête à rencontrer les attentes d'Arcelor Mittal si ce qu'elle fait au présent s'inscrit dans un avenir » a-t-il dit lors d’une rencontre avec les représentants des syndicats liégeois.

Toutefois, il réclamera des garanties à Arcelor Mittal sur le maintien de l'emploi et la réalisation des investissements.

J’aime qualifier ce ministre de « bébé Antoine » car sa vision est souvent sinon toujours empreinte d’une naïveté toute enfantine.

Tous le monde sait que Monsieur Mittal mettra en fonction deux aciéries ultra performantes en 2012 ou 2013 en Inde.

Chacun se rend compte qu’il joue avec les travailleurs et les politiques wallons, selon la demande du marché, une fois fermant des sites, l’autre fois, les réactivant..

Comment ce ministre est-il aveugle au point d’ignorer l’histoire encore récente de ces groupes étrangers, qui la main sur le cœur, nous assurent de leur volonté de s’installer durablement sur notre territoire, bénéficient d’aides importantes, puis claquent la porte, dès que la situation leur semble plus profitable ailleurs ?

Et le pire, c’est que l’argent public dépensé, le mien, le vôtre, pourrait servir dans le développement d’activités nouvelles. La Wallonie est riche de PME innovantes, freinées dans leur développement pour des raisons uniquement financières.

Là est le scandale. Le plan Marshall dont s’enorgueillit l’Olivier est totalement sous- financé.

Mais il en faut mécontenter personne jusqu’au prochaines élections, n’est-ce pas.
Même Leterme II défend avec acharnement notre « Daerden international », face aux accusations des medias.
Edifiant !!! Les Flamands défendant la présomption d’innocence d’un homme qu’ils détestent le plus souvent !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

01/03/2010 - Rudy Demotte, WalloBrux ou Wallonie ? Il faudra bien finir par choisir !
 

Dans une interview accordée au Groupe Sud-Presse, sous le titre de " Un vrai slogan pour la Wallonie ", Rudy Demotte, le président de la Région Wallonne qui porte également la casquette de président de la Communauté française (sorte de Wallobrux en gestation), déclare notamment " (...) Parler de Région wallonne plutôt que de Wallonie me semble dépassé par les faits. Comme pour les termes de gouvernement et de parlement  (de Wallonie et non plus de Région wallonne - NDLR).  La consécration de la Wallonie implique une révision de la Constitution  (??? - La Région flamande s'appelle souvent la Flandre sans aucune gêne par rapport à la Constitution actuelle qui parle pourtant de 3 régions - NDLR) (...) ".

Cette déclaration devrait remplir d'aise le citoyen que je suis. Après le papier à lettre de Di Rupo, alors ministre-président de la Région Wallonne, Royaume de Belgique comme son courrier le précisait à l'époque, voilà que Rudy Demotte parle d'identité wallonne plus forte.

Mais cela ne prépare-t-il pas l'acceptation de négociations sur modification de cette fameuse constitution, tellement désirée par les Flamands ?

Pourquoi pas, me direz-vous ? Mais à ce changement de nom doit alors s'ajouter obligatoirement une représentation égale au parlement fédéral pour cesser le statut de "cocus" que le fédéralisme belge nous a imposé. Une majorité flamande imposant sa volonté au peuple wallon en état d'infériorité numérique.

Et cette grande révolution libératrice d'un joug de plus en plus insupportable, il n'en fait pas mention.

Alors préparation psychologique à une échéance proche où les élus wallons vont se mettre à table pour encore une fois accepter l'inacceptable ?


Le logo actuel...



Un nouveau logo ???

En attenda
Le logo de l'Avenir !!!

Mais Pourquoi bouder le petit plaisir qu'il nous accorde ? Donnons lui un bon point pour un changement mimine mais sur la bonne router un avenir que nous réclamons. Nous lui faisons donc la suggestion de déjà marque l'évolution par le changement du logo officiel utilisé par son administration.
Et qui sait, peut-être un pas vers un logo plus représentatif.  Celui qui porte en filigrane, les mots Liberté, Égalité et Fraternité. Un slogan qui ne devrait pas effrayer un vrai socialiste !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Dernière modification : 30 mai 2011