Wallonie 2010

"Forcer l'Avenir - Rejoindre la France"
 

 
 
 

Prendre le taureau par les cornes



L'éveil de la Wallonie










 

 


La relation franco-belge ...
Le racisme belge anti-français ...
Le rattachement à la République

 

Relations politiques et dernières visites

Le voisinage géographique, les facteurs historiques et culturels (40% des Belges sont francophones), la forte imbrication des deux économies et des analyses souvent convergentes rendent les relations franco-belges particulièrement étroites et sereines. Une concertation régulière a été instaurée sur les questions européennes, les dossiers politico-stratégiques, ainsi que sur les dossiers africains.

Au niveau politique, les contacts à caractère spécifiquement bilatéral sont assez fréquents, tant au niveau du Président de la République (dès le 23/05/2007, M. Sarkozy a rencontré le Premier ministre belge, alors M. Verhofstadt, à Bruxelles, puis à Paris le 20/02/2008 ; entretien avec M. Leterme, alors déjà Premier ministre, à Paris, le 5/05/2008 et le 6/10/2008, enfin avec M. Herman Van Rompuy, à Paris, le 5 mars 2009) et du Premier ministre (entretien entre MM. Fillon et Verhofstadt à Paris le 20/02/2008, puis entre M. Fillon et M. Leterme à Bruxelles le 4/04/2008 et le 20/09/2008 à Sotchi, en marge de la XIIIème session du séminaire intergouvernemental franco-russe, en fin entre M. Fillon et M. Van Rompuy, le 29 avril 2009 à Varsovie en marge du congrès PPE) que des ministres.

Entre ministres des Affaires étrangères et des Affaires européennes, les rencontres sont régulières, notamment en marge des réunions européennes. M. Pierre Lellouche, secrétaire d’Etat aux affaires européennes, s’est rendu à Bruxelles le 18 décembre 2009 et a rencontré M. Vanackere, ministre des Affaires étrangères, ainsi que son homologue, M. Chastel. M. Vanackere s’est quant à lui rendu à Paris le 9 mars 2010 et a rencontré son homologue français, M. Kouchner.

Relations économiques

Selon les données de la Banque nationale de Belgique, la France est restée en 2009 le 1er client de la Belgique et son 3ème fournisseur, derrière les Pays-Bas et l’Allemagne (la France était le 2ème client et 3ème fournisseur de la Belgique en 2008 selon les données françaises). Parallèlement, la Belgique a été notre 4ème client et notre 2ème fournisseur selon les Douanes Françaises. Sur les trois premiers mois de 2010, la Belgique est même devenue notre 3ème client devant l’Espagne et s’est maintenue au 2ème rang de nos fournisseurs.

En dehors du commerce très dynamique des produits pharmaceutiques ( +34,4% pour les exportations et +53,7% pour les importations), les échanges commerciaux franco-belges se sont contractés en 2009 sous l’effet de l’affaiblissement du commerce mondial avec un recul de 18,3% des exportations françaises en Belgique et de 20,9% des importations françaises de produits belges (chiffres douanes françaises). Cette diminution est légèrement supérieure à celle du commerce français avec le monde qui a reculé respectivement de 17,7% et de 18,3% l’année dernière). La chute a été particulièrement importante pour les exportations de produits métallurgiques et métalliques ( -27,9%), les machines industrielles et agricoles ( -29,3%) et le secteur des déchets industriels et ménagers ( -48,1%).

Le déficit commercial structurel de la France s’est mécaniquement réduit, passant de 9,6 milliards d’€ en 2008 à 6,8 milliards d’€.

Cette évolution doit cependant être considérée comme purement conjoncturelle car la structure de ce déficit n’évolue que très peu par rapport à 2008. Le solde de nos échanges est toujours entièrement dépendant du secteur des énergies, notamment des hydrocarbures (avec un solde négatif de 7,2 milliards d’€ pour ce seul secteur).

 Coopération culturelle, scientifique et technique

La coopération culturelle scientifique et technique franco-belge est particulièrement dense en raison de la proximité, dans de nombreux domaines, entre les deux pays.

La coopération culturelle est en progression constante, les partenariats ne cessent de se développer entre grandes institutions mais aussi entre partenaires peu connus du grand public. Les autorités des deux pays apportent régulièrement leur soutien à des manifestations organisées en Belgique et en France.

La France et la Belgique ont instauré de nombreuses coopérations dans les domaines culturel, scientifique et technologique. A cet égard, la dévolution aux communautés de l’essentiel des compétences culturelles a conduit à réactualiser le dispositif de coopération franco-belge par de nouveaux accords avec les entités fédérées. Des textes séparés ont ainsi été signés entre la France et, respectivement, la Communauté française de Belgique (22 mars 1999), la Communauté flamande (28 septembre 2000) et la Communauté germanophone (5 décembre 2000). Les orientations et les projets communs sont mis à jour régulièrement lors de commissions mixtes.

La coopération scientifique et universitaire constitue une priorité à travers le développement des échanges entre centres de recherche et centres d’excellence flamands, entre pôles de compétitivité français et wallons ; poursuite des échanges entre écoles doctorales, développement des partenariats privilégiés entre grandes universités et mise en place d’un réseau universitaire transfrontalier.

Le renforcement de la francophonie et de la langue française est un axe important, en particulier en Flandre (actions pédagogiques et formation des enseignants, soutien au renforcement des effectif du lycée français d’Anvers à travers le projet de mise en place d’une filière bilingue et à l’extension du Lycée français Jean Monnet). A Bruxelles, l’enseignement du français est dispensé par l’Alliance Française de Belgique, avec un accent particulier donné à la formation des fonctionnaires européens. 

Autres types de coopération, (coopération militaire, policière ...)

Avec 620 km de frontière commune, 25.000 résidents en France qui se rendent quotidiennement en Belgique pour travailler et 5.000 résidents en Belgique qui viennent travailler en France, la coopération transfrontalière entre les régions françaises et belges est ancienne et dense.

Elle reste néanmoins peu visible essentiellement en raison de l’absence de véritable lieu d’échange institutionnel portant sur la coopération transfrontalière ou les questions frontalières au niveau intergouvernemental. La coopération transfrontalière touche de nombreux domaines : infrastructures (rail, route, canal), industrie, commerce, administration, santé ou affaires sociales, environnement, agriculture, urbanisme.

En réponse à un besoin croissant des acteurs locaux, un accord de coopération décentralisée transfrontalière a été signé à Bruxelles le 16 septembre 2002 avec le Gouvernement du Royaume de Belgique et les Gouvernements de la Communauté flamande, de la Région flamande, de la Communauté française et de la Région wallonne. Cet accord, ratifié par l’ensemble des parties, a permis d’offrir un cadre juridique aux relations entre collectivités locales françaises et belges et a préfiguré le règlement communautaire du 5 juillet 2006 créant le Groupement européen de coopération territoriale (GECT).

Le premier GECT en Europe, l’Eurométropole Lille/Courtrai/Tournai, a été installé le 28 janvier 2008 afin de faciliter le développement et la gestion d’une agglomération transfrontalière franco-belge forte de deux millions d’habitants.

Un accord général de coopération entre la France et la Région wallonne a également été signé le 10 mai 2004 à Bruxelles. Ce texte permet de donner un cadre aux collaborations franco-wallonnes dans l’ensemble des domaines de compétence de la Wallonie. Il existe de nombreux autres accords entre la France et la Belgique en matière de défense, de sécurité ou de santé.

La coopération policière et douanière franco-belge se développe de façon régulière. Elle repose sur un accord signé le 5 mars 2001, qui a débouché sur l’inauguration d’un centre de coopération policière et douanière à Tournai, au début du mois de septembre 2002. Un accord de coopération en matière de sécurité routière (dans le but de faciliter la poursuite des auteurs d’infractions aux « radars automatiques ») est en cours de finalisation entre nos deux pays.

Ces informations d'où viennent elles ? Du site du Ministère des Affaires Etrangères de la République Française. Donc ces informations ne sont pas contestables.  Elles sont officielles et montre bien le niveau de relation que la Wallonie entretient déjà avec son grand voisin, sa VRAIE patrie historique.

Le racisme anti-français que manifeste actuellement par toutes voies possible les médias (radio, TV, presse écrite) aux ordres de la couronne et des partis politiques belges constitue par conséquent un vrai scandale que je dénonce ouvertement.  Que feraient tous ces partis belgicains (PS, CDH, Ecolo, MR) si la France décidait de se désengager du territoire wallon ET bruxellois ?  Poser la question est devenu une question vitale pour notre économie mais peut-être que ces gens si attachés à la couronne sont dépourvus de tout qui fait l'intelligence.  

Il semblerait que nous nous dirigions vers une Fédération Wallonie-Bruxelles, l'horreur intégrale.  Seule la solution du rattachement à la France sera pour nous tous, la solution.  Le reste est perte de temps et vain blabla ... Nous n'avons que trop perdu de temps ...déjà !

Dominique-André Brichaux
5 avril 2011

Publié avec son aimable autorisation

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Dernière modification : 08 janvier 2012