Wallonie 2010

"Forcer l'Avenir - Rejoindre la France"
 

 
 
 

Prendre le taureau par les cornes



L'éveil de la Wallonie












 

 


L
e 13 juin, il ne votera pas. Cela va lui coûter cher !
 

Le 13 juin, il ne votera pas. Cela va lui coûter cher ! Chaque enfant qui naît aujourd’hui a déjà une dette de plus de 30.000 €.

Son avenir est limité par une mondialisation et un capitalisme sauvage, fruit d’une guerre sociale et économique sans pitié entre toutes les nations, désireuses d’accéder au rang de puissance économique dans l’intérêt de ses citoyens.

Selon le professeur d’économie politique Michel Quévit, la petite Belgique était 4e puissance économique au début du siècle dernier, grâce à l’industrialisation et au dynamisme wallon.

En 2009, le Frazer Institute classait la Belgique à la 47e place. Notre pays était coincé entre le Portugal et l’Arménie.

Les handicaps de la Belgique sont connus, nous dit cet Institut, la taille excessive de ses gouvernements, le coût de sa bureaucratie et le niveau élevé de ses taxes. Le FMI, la Banque Mondiale, l’Union européenne et l’OCDE, pour ne citer qu’eux, disent exactement la même chose depuis des années.

 Et que deviendra-t-il dans un pays divisé, où une Flandre devenue triomphante réalise près de 80% des exportations nationales, activité indispensable à la survie sociale, car le territoire ne dispose d’aucune ressource naturelle.

Et la Wallonie dans tout cela ? Petite région devenue dépendante dans un petit pays en recul, elle ne peut que s’asphyxier dans un monde impitoyable pour les faibles, malgré ses richesses intellectuelles et ses capacités à créer.

Son salut réside dans son intégration dans une nation plus grande, capable de lui offrir les conditions d’un redéploiement industriel et commercial. En gestion, l’on sait depuis longtemps que l’augmentation de la taille d’une entreprise permet des économies d’échelle et une activité plus grande. Pourquoi n’en serait-il pas de même pour une région ?

La Wallonie a une chance historique. Son histoire, sa culture, sa langue sont liées à la France, 6e puissance économique et locomotive d’une Europe en proie à de nombreuses difficultés.

Pour la République française, avoir la Wallonie comme Région de France à part entière constituerait une extension de territoire par des moyens pacifiques, un apport de population d’un bon niveau professionnel et intellectuel et de petites entreprises innovantes et performantes.

Pour nos enfants et nous, devenir Français à part entière c’est prendre la place qui nous revient au sein d’une puissance encore capable de protéger les siens.

Bien sûr, rien n’est parfait et la France a des difficultés comme toutes les nations européennes actuellement. Mais elle est beaucoup plus à même de se redresser qu’un petit royaume qui n’en finira plus de s’autodétruire !

Les Flamands sont désormais dans la dynamique d'une Flandre autonome, dotée de sa propre sécurité sociale et de sa propre fiscalité, d'une récupération de Bruxelles, qu'ils ont déjà choisie comme capitale, de la direction d'un État fédéral où ils détiennent la majorité et de l'exploitation, pour ne pas dire la colonisation d'une région captive, gisement de main d'œuvre subalterne et territoire de vacances et de loisir.

Peut-on envisager cet avenir ? Peut-on ignorer la chance que nous pouvons encore saisir au vol ?

Pour ces enfants qui veulent et qui ont le droit de vivre dignement, vous voterez pour eux, vous voterez pour la liste 14 RWF, Rassemblement Wallonie-France. Ensemble pour une vie meilleure !

René G. Thirion

 

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Dernière modification : 26 septembre 2011